Le blog de deux amoureux curieux
Je rédige ce petit article ce soir car je suis excitée comme une bonne treue. Ma maîtresse au téléphone m'a chauffée à blanc et je ne peux m'empêcher par l'intermédiaire de ces quelques mots de lui demander des faveurs. Je ne sais pas si elle appréciera mais je suis trop en rut. Maîtresse, pourrais-je te demander sans t'offenser de m'infliger une séance dont seule tu as le secret. J'aimerais Maîtresse sentir sur moi ta pisse, me nettoyer à ton urine, bouffer ton jus divin, prendre une douche dorée. Se faire pisser dessus comme une treue dégueulasse serait pour moi un honneur. J'adorerais sentir sur moi ton liquide chaud, le sentir descendre doucement dans ma gorge. C'est trop bon cette humiliation qui me vient du bas ventre, cet amour inépuisable que seuls toi et moi pouvons mesurer. Si tel n'était pas le cas, j'assumerais les punitions que j'aurais méritées. Quand Maîtresse tu liras ces mots, je veux que tu saches à quel point je suis attachée à toi. J'aime ta rigueur, ta beauté, ton amour, ta tendresse, ta sévérité. J'aime quand tu me domines, quand je suis à ta merci, ta chose, ta pute, ta traînée. J'adore quand tu me prends sans ménagement, quand tu me traites comme une sale fiotte dégénérée. Maîtresse mon amour, plus tu es dure avec moi plus je sens monter en moi une dépendance, une envie de t'appartenir. Rappelle toi mon amour, quand nous cherchions notre sexualité et quand j'avais le rôle de dominant, j'avais organisé une séance pissing qui, je pense, nous avait fait énormément de bien. Je te joins la photo en souvenir d'un temps qui a bien changé, ce qui est loin de me déplaire. Si tu acceptes, sache ma douce Maîtresse que je serai la plus heureuse des esclaves sexuelles.
Ta fiotte pour toujours